Le volant Yoke que Tesla propose sur sa Model S fait beaucoup parler de lui. En effet, le constructeur américain a cru bon d’apposer sur sa berline haut de gamme un demi-volant. Pourquoi pas, encore faudrait-il que la prise en main soit efficace. Ainsi, si tu veux savoir comment cela se présente, voici une vidéo d’une personne qui roule avec le fameux volant Yoke :
A noter que ce volant est homologable au sein de l’Union Européenne. Cependant, Tesla n’a pas réussi à faire homologuer le fait que la fonction de recul soit activé depuis la tablette. Quoi qu’il en soit, Tesla semble vouloir viser le public geek avec sa dernière Model S… Encore faudrait-il qu’il s’agisse de geeks riches.
Il semblerait donc que la prise en main soit possible, même si selon le conducteur cela demande un temps d’adaptation. Ce dernier avoue qu’il doit encore prendre ses marques. Il a même klaxonné sans le vouloir. Tout est une question d’habitude. Il est vrai qu’en Amérique, les routes sont larges donc le volant s’apprête bien à ce type de route. Néanmoins, le conducteur arrive à un rond-point et profite de cet occasion pour réaliser un demi tour.
A côté, le volant de Peugeot est largement plus simple d’utilisation
La difficulté, en général, réside en l’absence de la partie haute du volant, mais Tesla assure que la direction est démultiplié de sorte à ce que le demi-volant puisse faire le travail de manière efficiente. Dans les ronds-points, cela risque d’être ardu. Il faudrait peut-être proposer ce volant en option, car je doute qu’une personne retraité, par exemple, voudrait s’amuser avec un volant de jeu-vidéo. On peut également se demander si Tesla compte proposer ce volant sur l’entièreté de sa gamme. Tout cela dépendra probablement de l’accueil qui sera réservé à ce volant.
La Model S « restylée » qui apparait plus comme une seconde génération ne sera pas présente sur les routes avant 2022, au moins. Développant plus de 1000 chevaux dans les versions les plus puissantes, elle va forcément dépasser les 100 000€ en termes de prix.